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o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 13h16: | |
A peine posés, les mots s'envolent dans la cage de mes pensées. Distillées. Sans parfum. Le moindre de mes mots est devenu porteur de harasses de verres vides. Flacons bigarrés où seules quelques gouttes séchées témoignent de l'arrogance de mes rêves d'ivresse. Bonbonnes de boissons noyées de colorants sucrés, détestables. Fioles où la folie est d'avoir posés des instants de rêves en mots. Les mots me font horreur. Ils mentent: Insaissables, ils n'ont aucun sens. Et pourtant, pourtant, ces touries d'étourdissement sont plus réels, plus réels que des instants dont il m'a bien fallu reconnaître l'inexistance. Il ne reste de mes mots que l'arrogance, mienne, que j'y lis avec horreur. Tu ne m'aimes pas. Et arriver à le conjuguer. A tous les temps. le recopier. Cent fois. Mille fois. Pire qu'une punition. Le dégoût du verbe. Du verre. A vie. A vide. prévisualiser annuler poster ce message quelle importance tu n'es pas là |
anarchangel (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 13h53: | |
J'aime beaucoup... Merci |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 14h20: | |
Les mots mentent, en effet, puisqu’ils sont "vides" de la réalité qu’ils désignent. Les mensonges toutefois renseignent, à leur manière. Et comment dire autrement qu’avec des mots que le silence est d’or. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 14h36: | |
quel déchainement de folie verbale ! bravo.. et encore... ! |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 14h39: | |
Les mots mentent parce qu'ils ont un sens prédéfini et souvent trop défini... par rapport à ce qu'on voudrait leur faire dire...mais les tiens se battent pour dire le plus vrai possible, dans ce texte, o'clock |
anarchangel (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 17h35: | |
De toute façon je pense qu'aussi doué que soi le poète il ne saura jamais qu'éveiller chez son lecteur ce que sont les choses en lui... Chacun percevant le monde différement, et voyant le sens des mots à son sens, un poète ne saura jamais totalement "compris"... Se servir d'un "mensonge" pour pousser vers des vérités, illusoires ou non... |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 18h32: | |
Le mot "chien" n’aboie jamais, a dit quelqu’un ; le mot "soleil" de luira jamais ; il apparaît même tout noir sur la page blanche. Mais il peut mettre notre imagination en branle, un peu comme ce même astre (le vrai et non son ersatz verbal) éveille les fleurs à l’aurore et fait chanter les oiseaux. |
(Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 21h19: | |
Merci de votre lecture, de vos mots dont je prends la consistance comme des pierres de ce passage à gué, comme des briques en appelant d'autres. Merci. les mots d'André Carruzo m'ont fait penser à "le fleuve ne sait pas qu'il s'appelle le fleuve"... quand j'entame des lettres perdues, cela me fait penser à lui. anarchangel : merci pour ce message, cette main consolatrice. Mais comment dire sans être blessante peut-être et arrogante, encore (devant ton, vos gestes) : quand les gestes n'ont pas de sens, écrire devient de la simple gestuelle maniérée. Nao... les mots n'ont aucun pouvoir quand ils ne possèdent pas la limipidité d'un fleuve et qu'ils se contentent d'être de simples reflets. Les mots qui érodent, ont la consistance de l'eau, la puissance du feu, la texture de la pierre. Merci, cela fait du bien de se laisser écrire. |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 21h22: | |
pardon, j'ai oublié de signer : o'clock c'est important de signer. |
(Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 22h21: | |
l'avantage, avec un pseudo pareil c'est que jamais, jamais, je ne risque de tomber sur une furie à cheval sur les pendules à l'heure. J'ai hésité avec Tarchingiboudilagawidaloubd mais les trucs compliqués ça me fatigue. j'ai encore réfléchi, André, (c'est bon, de se prendre la tête pour des choses comme celles-ci) le mot sussurrer sussure. |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 18 octobre 2005 - 22h24: | |
zut encore oublié : o'clock sérieusement, quelle importance ? Tu n'es pas là |
Tm (Tm)
Identificateur : Tm
Inscrit: 1-2005
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 8h40: | |
Les mots ne sont pas le reflet du monde extérieur, c'est acquis. Mais si celui-ci ne peut tout à fait se dire, de même que ne peut (encore moins) se dire exactement notre monde intérieur, ils sont un monde à eux seuls, et le poète aime, a contrario de l'homme de science, lui rendre sa liberté. |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 9h25: | |
abcdefghijklmnopqrstuvwxyz avec ça on peut faire des mots avec des mots on fait de phrases etc. ONU, GATT avec 3 ou 4 lettres on peut faire 3 ou 4 mots avec cent lettres on peut faire un recueil avec le mot :"mot" on peut jouer au son maux, (sans le son cela ferait un autre jeu) ou au rangement des lettres en tom(e) l'absence de mots est la plus grande porte sur la liberté de même qu'une toile blanche est porteuse de plus de liberté d'expression qu'une toile de jute sur laquelle il faudrait d'abord donner une couche de blanc Tm merci pour tes mots. les mots dits (maudits - je suis vraiment géniale, ce matin) sont souvent parfaits. D'une perfection effrayante. Le fait d'être poète, ou non poète (c'est quoi exactement ?) est une simple distorsion de la forme du vocable. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 9h34: | |
Ne pas enfermer l'esprit par des mots trops serrés 26 lettres pour des milliards de planètes de formes et d'esprits 30 000 mots quand l'infini se suppose en deux yeux et la distance entre ce seul regard et le reste quand le plus petit se pose un instant se supperpose reste immité dans l'instant dans l'océan de tous les ciels la poésie réduit dans cette immense pause a cette phrase ou tout s'oppose... |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 9h41: | |
Oui, en fait, c'est sublime Sublime Regarde c'est beau non ? Non ? Oh... pourtant tu avais la liberté d'y imaginer tout le monde ! des fleurs aux pétales des dras d'hôpital des macros sur des lys des zoom sur la lune un champ de neige des chants aux voix blanches la lueur morte de la vie la vie des leurres morts et regarde, lis ces mots qui viennent salir en assaillissant cette sublime toile blanche.... le silence, l'absence des mots est la liberté subliminalement sublissime |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 9h56: | |
Susurrer, susurrement, susurration. Lorsque tu susurres qchose à l’oreille de qqu’un, les mots que tu prononces ne font pas "su su re". Lorsque des roseaux se balancent sous la brise l’on n’entend pas "su su re" non plus. Les mots d’origine onomatopéique sont des imitations de bruits. Si susurrer susurrait, comme tu dis, toutes les langues adopteraient ce verbe. Or en allemand, par ex,. on dit "flüstern" ou "säuseln". De même qui entend véritablement "plouf !" quand un objet tombe dans l’eau ? Les Allemands disent "plumps !" et les Anglais "splash !" (sauf erreur). L’onomatopée imite. L’imitateur de Chirac n’est pas Chirac. Il peut même n’être jamais entré en politique. |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 10h01: | |
... et tout repose et puis s'envole et sombre parfois si profondément Bonjour Nao. merci d'avoir posté ici ces mots, si beaux |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 10h17: | |
Tu as raison André. vous avez tous raison. Pas pour rien que je vous lis. Les mots, c'est passionnant. il faudra que je vienne répondre mieux, un jour là je ne peux pas |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 15h30: | |
quand les gestes n'ont pas de sens, écrire devient de la simple gestuelle maniérée Je pense que je devrais demander des droits d'auteur sur cette phrase. Je lis et relis. Oui. C'est vraiment excellent, comme phrase. voilà pourquoi, cher André, il m'est impossible de jouer à vos mots. Par contre, au fond de moi, une voix espiègle, un relent de maniérisme pourrait, sans me faire prendre la tête plus qu'une seconde, me faire répondre : une poulette ça sussure mon humour n'a de pendant que mon esprit ... extraordinaire. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 15h50: | |
extraordinaire : qui sort de l'ordinaire (oui mais par quel porte?...) |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 16h10: | |
Nao : extra : du latin :en dehors ordinaire : du latin : ordinarius, ordre commun, lois, juges, etc. Nao, j'attends le livreur de gaz. Il n'y a malheureusement ni chauffage ni électricité, dans cette pièce. J'ai récupéré, dans une vieille brocante, une sorte de grille à poser sur une bonbonne de gaz. Avec la casserole menue je veux bien t'offrir un bol de thé, un de ces jours. Mais là, excuse-moi, j'ai les mains un peu trop gelées. J'espère que le livreur arrivera à monter sur cette échelle, il faudra peut-être installer un système de poulie. je ne sais pas. Il faut que je réfléchisse à tout cela. Et puis regarde toute la poussière. C'est ... c'est un endroit rêvé pour dessiner avec les doigts. presser le doigt dessus, pousser, et observer. Cette volute de poussière sur un doigt. Tel un anneau. Cela a l'air rigide, mais c'est fou, quand on veut la poser plus loin, tiens, pour faire des bulles, des motifs avec ces pastilles de poussières, on la brise. C'est marrant. Euh Nao ? T'es encore là ? Bonjour Nao. Extraordinaire ? Oh c'est un simple mot. Un mot composé de deux mots simples. Rien de plus. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 16h18: | |
Je suis là, quand tu veux le bol de thé, avec plaisir même En plus je n'ai pas peur sur les échelles (pourtant je crain le vertige) au contraire c'est une sensation curieuse de s'arracher du sol tout en regardant vers le ciel. Quand à la poussière je prendrai garde à ne pas la déranger c'est une matière d'un telle patience qu'elle mérite le respect, je viendrai peut-être les mains vides (à cause de l'échelle) mais j'espère que mes quelques mensonges réchaufferons les tiennes... |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 16h33: | |
quelle jolie image, Nao, "la patience de la poussière" ........ je dois juste aller au coin, je |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 16h50: | |
Si les gestes n’ont pas de sens, écrire n’a pas de sens non plus. Le dérision gratuite encore moins. Ne serais-tu pas qsj, o'clock ? |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 16h53: | |
Les échelles sont des rails en suspension qui permettent l'envol en cas de déraillement Oui, il y a plein de choses qui méritent le respect. Et ton amabilité en est une. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 17h20: | |
"Les échelles sont des rails en suspension qui permettent l'envol en cas de déraillement" : très jolie |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 17h34: | |
L’un ricane, l’autre pleure. Lequel est le plus à plaindre ? Le “surhomme” ou l’affligé ? |
(Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 18h06: | |
Le plus à plaindre ? Sans doute le "vide" de poésie pour écrire, "Les mots mentent, en effet, puisqu’ils sont "vides" de la réalité qu’ils désignent" |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 18h29: | |
Ce n’était pas une poésie, c’était une question. Le langage est probablement né parce que les hommes éprouvaient le besoin de communiquer entre eux. |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mercredi 19 octobre 2005 - 19h27: | |
j'aime bien ta réponse, intervenant non inscrit, et j'ajouterais : les mots qui mentent, au moins, ont existé. quant à la communication... si la communication avait un quelconque sens, il me serait VITAL, je suppose, de m'identifier pour que les invités dans la chambre de bonne où je me suis invitée sachent que je suis en présence. (qsj ?) je ne sais pas exactement ce que je fais. Mais je crois bien que j'écris. Et je ne ricane pas. Ou peut-être, oui, parfois. Sur moi. Si c'est trop pénible à lire... navrée. Je suis consciente d'avoir un comportement détestable, face à des personnes se donnant la peine de me lire, et me le dire. Je ne demande à personne de m'excuser, de me plaindre, de me comprendre. Je n'ai pas assez d'énergie pour vous envoyer de la daube ou vous embaumer. Et aucun espoir quant à la richesse des échanges. Non merci, j'ai déjà donné. Je suis une folle. Et cela me va. J'essaie d'écrire. C'est tout. Et si ce post peut vous permettre de jouer, au qr tant mieux. Il me serait détestable de tenir, assez à cette image ridicule de mon o'clock pour venir rétablir l'ordre dans ma piaule. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 9h23: | |
"Et aucun espoir quant à la richesse des échanges" dommage, un simple sourire, un simple mot peu tellement enrichir celui qui le reçoit sans rien couter à celui qui l'envoie, bien au contraire. Les échanges sont trop important pour apprendre des autres apprendre à les respecter à ne pas en avoir peur à ne plus les détester, et en fait toi aussi tu y crois sinon pourquoi nous répondrais tu? |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 9h24: | |
A part ça, bien dormis ? |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 14h11: | |
... par ce vernis que l'on appelle, savoir vivre et que tu sembles confondre avec le respect : le savoir vivre s'apprend au contact d'autrui, c'est vrai, selon des codes auxquels on adhère ou que l'on refuse. C'est une liberté. Une forme de liberté en conditionnelle. Le respect est plus de l'ordre du devoir, celui de prendre en considération, malgré soi, parfois, l'autre. On ne l'apprend jamais au contact des autres. Parce que ce n'est pas un sentiment qui découle de l'autre, mais de soi. De ce que l'on a acquis dans le ventre de sa mère. C'est un devoir qui, s'il devient simple civilité, n'est plus qu'un vernis, du savoir vivre terne. Un devoir qui, s'il devient obligation, s'apparente à l'hypocrisie. Un devoir qui, s'il devient tâche, se résume au dé-respect de soi. Je ne sais pas pourquoi je réponds. Cela n'a aucun sens, et c'est bien ainsi. J'ai ressenti une vive émotion en te lisant, hier, de ces émotions qui ne me broieront plus. Et les gouttes, il n'y en a plus tant que cela. j'ai bien dormi. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 15h00: | |
On a pas du tout le même point de vu de ce qu'est le respect. Quand je dit bonjour à quelqu'un que je ne connaît pas c'est du savoir vivre, puis si je fait connaisance avec lui j'apprends à le respecter pour toutes sortes de choses qu'il m'apporte toutes sortes de différence qui m'apparaisent et toute sorte de choses que je vais détester peut-être chez lui... Le respect n'est pas un devoir il se mérite, il ne vient pas de soi mais bien de l'autre. Ce qui me pousse par exemple a être contre la peine de mort est le respect de l'être humain en générale mais surement pas de certains individus qui risquent la peine de mort sous certains régimes, certaines personnes ne sont pas respectables et c'est aussi par l'échange que l'on s'en apperçoit. Et peut-être que par savoir vivre, ce matin j'ai dit bonjour à un passant dans la rue qui était tout sauf respectable. |
Tm (Tm)
Identificateur : Tm
Inscrit: 1-2005
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 15h26: | |
Il est vrai que tu es, Nao, si j'en juge par tout ce que tu postes sur le site, quelqu'un avec qui il est particulièrement agréable de communiquer. En cela -et en d'autres choses, je m'en persuade volontiers- tu es exemplaire. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 15h36: | |
Pourquoi exemplaire ? c'est ironique TM? |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 16h34: | |
Ce que je veux dire c'est que je n'ai surtout pas la prétention (encore moin l'impression) d'être exemplaire, ni de faire la leçon à qui que se soit (et surement pas à des gens aussi instruit que toi TM ou André). Je veux juste partager mes impressions sur un point qui me tient à coeur. Je ne sais pas ce que tu as voulu me dire, mais comme je sais que tu use avec bonheur du second degrès, Thierry, j'ai eu l'impression que tu me taquinais... |
Tm (Tm)
Identificateur : Tm
Inscrit: 1-2005
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 17h27: | |
Absolument pas! Je suis sincère: tu as volontiers le mot gentil avec tout le monde, sur ce site, et c'est très agréable. Il me semble, à ta façon de participer positivement et d'accueillir tout participant (respect et politesse), que tu montres l'exemple. L'instruction ne fait pas tout. Les qualités du coeur comptent plus à mes yeux. Désolé de t'avoir mis dans l'embarras, Nao, en me faisant mal comprendre. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 17h33: | |
OK merci TM, mais trop de compliments nuit gravement à la santé...(après je serai tenter d'y croire), Merci à tous pour ce débat très intéressant, On parle d'autre chose? |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 17h39: | |
Exercice pratique : Je sors de ma salle de bains, un linge autour des cheveux, une toilette de chat, partie après partie de moi. Les cheveux à l'eau gelée (c'est bon pour les racines) le reste à l'eau tempérée grâce à ma bonbonne de gaz, le thé a infusé, j'hésite entre le polar de la bibliothèque que j'ai déniché tout à l'heure et un sudoku diabolique... Et me voilà devant une énigme grandeur réelle. La personne qui a répondu après 15h00 a dit bonjour à une personne non respectable Il est exemplaire de répondre à des personnes exemplaires de la non-communication. Thierry n'est pas André. Je ne suis pas qsj J'hésite à peine. je prends un crayon et commence à noircir les cases. NNON N N J'ai connu un mec très bien élevé qui avait un manque de respect atroce à mes yeux bien qu'il me respectait J'ai connu un mec bourré de respect pour mille choses, mais sans aucun savoir vivre J'ai connu des rustres qui m'ont respectée J'ai connu des ... Bref, je ne cherchais pas à asseoir ma position, je ne faisais qu'ébaucher ma façon de considérer les choses alentours. NONN Vous prendrez une tasse de thé ? C'est un simple thé de menthe |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 17h43: | |
Ha eh bien voilà qui met tout le monde d'accord. (je m'égouttais les cheveux, je n'ai pas suivi le reste) Nao, si tu sens de l'ironie, des pointes de haine, des envies de tuer, chez moi, ici, sache que c'est toujours sur moi. Moi. Il faut toujours d'abord commencer par soi-même. |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 17h43: | |
oui du thé pour tout le monde c'est ma tournée!!! |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 17h47: | |
C'est la façon la plus simple de respecter le reste du monde. Se respecter malgré que l'on se connaisse très bien, permet de respecter les pires merdes malgré tout. Oui, je pourrais le faire en plus poétique. Se respecter malgré tout, pour bon gré mal gré tout respecter. Bon j'ai le thé qui attend  |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 17h49: | |
Merci Nao. Je ne mérite pas tes mots crois en ceux qui ne sont pas venus Brûlant. Une petite douleur. Pas de souci. |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 19h14: | |
Tout le monde il est gentil. J’avoue que je suis intolérant parfois. Je ne vous en demande pas pardon ; c’est comme ça. |
Tm (Tm)
Identificateur : Tm
Inscrit: 1-2005
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 19h15: | |
o'clock, will you tell me where you've got the smiley? (Excuse my french!) |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 19h59: | |
J'aime ta franchise, André. Tm : en écrivant deux points puis fermer une paranthèse
Il y a des choses si faciles |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
Inscrit: 1-2005
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 20h51: | |
it's a matter of to hop it, me souffle G.B.,un copain. |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 21h30: | |
Hope is the alma mater of nonsense, better to hop the hope than live in Hopper's cold dreams l'espoir est l'alma mater du non-sens, mieux vaut sauter par dessus le rêve que vivre dans les rêves glacés de Hopper.(Denis, sauf erreur) |
o'clock (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 20 octobre 2005 - 21h30: | |
Hope is the alma mater of nonsense, better to hop the hope than live in Hopper's cold dreams l'espoir est l'alma mater du non-sens, mieux vaut sauter par dessus l'espoir que vivre dans les rêves glacés de Hopper.(Denis, sauf erreur) |
(Intervenant non inscrit)
| Envoyé vendredi 04 novembre 2005 - 19h24: | |
Soleil s'égoutte en nuit se fond en toujours |