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otta (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 02 février 2006 - 17h05: | |
Je n’ai pas peur très cher ami Que votre souffle me délaisse Ou que vos douces mains caressent Un autre corps et qu’il frémit Nulle frayeur que de vous voir Pensif, perdu, passant vos nuits Entre les murs d’autres couloirs A gambader de chaque bruit Aucune crainte mon très cher De vous savoir à d’autres pieds Les suppliant de pardonner L’avidité de votre chair Aucun effroi de vos silences De ce regard vide à outrance Quand face à moi vous somnolez Face à ce corps prêt à voler Mais une crainte sans mesure De vous savoir mon cher trembler A l’idée de me voir aimer Autrui jusqu’à la démesure |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé jeudi 02 février 2006 - 17h20: | |
Beaucoup de rythme, de musicalité, très classique dans la construction, moi ça me plaît beaucoup... |
otta (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 02 février 2006 - 17h28: | |
j'en suis vraiment ravie Nao.. |
sarah (Intervenant non inscrit)
| Envoyé lundi 06 février 2006 - 17h37: | |
merci. gracieux. délicat. très beau. |
otta (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 07 février 2006 - 8h54: | |
Merci Sarah.. heureuse que mon poème te séduise.. Amitiés |