| Auteur | Message | ||
| Saint-Hubert (Intervenant non inscrit) |
Amis des vers, de terre a surgi tout cornu Un animal à plume qui porte en couronne Sa drôle de ramure sous quoi le neurone Barbouille d'encre noire un crâne trop ténu Et creuse, pauvre hère, la sente où il rait, Par où s'en va quérir une indigne gloriole Autofaite-savoir, parole de mariole. L'âne onyme s'affiche en poète et il brait. Oh non, ne riez pas du cervidé brailleur! La sacrée bête a faim pour son moi et le gave Avec ce qu'elle peut, -et pourquoi pas de bave? Craignez plutôt, poètes, qu'il ne rime ailleurs. Oui plaignez le ténia qui trouve ici refuge Car assez tôt le chasseur use de vermifuge! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
deuxième vers un/a/ni/mal/à/plu/me/qui/por/te en/cou/rrone irrespect de la césure à l'hémistiche!!! faute grave de balbussimètre Nul besoin de lire le reste, nul et nul et nul. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
troisième vers idem Saint Pubère tu ferais mieux d'aller amuser des serpents à sonnettes plutôt que de t'aventurer dans l'univers des vers. Le sonnet ça ne se sert pan! comme ça. On n'y tire pas au pif et il faut en connaître les règles. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Ton "sonnet" c'est du cacahier moulu glaires Et ça pue pubère monsieur Saint Hubert (culeux?) | ||
| (Intervenant non inscrit) |
La chance que vous avez est que je ne vous connaisse pas assez, autrement vous auriez eu droit au sonnet le plus méchant qu'il soit quant à son sens et le plus sublime quant à sa technique. Votre anonymat vous sauve de mon acide cerfique. Saint Cerf est connu. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Saint Cul Vert tu as le pied bot s'agissant de poésie  | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Saint Cul Vert tu as le pied bot s'agissant de poésie | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Le Singeant Saint Hurluberlu s'est tu, on dirait. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Allons! cacacaillé verve moulue, on se cache derrière son pied bot? Quand on ne maîtrise même pas la métrique que dire des sonorités? sot notoire!!! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Le lâche se cache. Allons Saint Couard, Saint Cerf n'a pas encore usé de l'artillerie lourde que déjà tu as la queue entre tes deux pattes. Saint Cerf hésite encore. Offrir un sonnet au né sot? Ou lui sauter au nez? Ou ou ou... Saint Cul Vers aurait-il déjà la trouille? Allez! Sort de ton trou! Le grand et illustre poète Anouar t'attend et se demande déjà à quelle sauce miam-miam il mangera le né-sot. | ||
| St-Hubert (Intervenant non inscrit) |
Je ne me cachais pas, gueulard. Je dormais. Et pendant ce temps tu bavais ta rage, dépourvu d'humour que tu es (preuve supplémentaire s'il en faut de ta profonde imbécillité). La césure, mon pauvre petit, est respectée à chacun de mes vers. C'est dans le premier qu'elle ne l'est pas, et c'est exprès. D'ailleurs, je ne vois pas qu'il faille ciseler des vers parfaits pour un clown de ton espèce! C'est assez de daigner se pencher sur ton cas. Je te conseille Mazaleyrat, en ce qui concerne la métrique, petit. Tu viens de démontrer par tes critiques hasardeuses que tu n'y entendais pas grand chose. Sache aussi, pour ton information, que les plus beaux vers ne sont pas nécéssairement classiques. La liberté en poésie est la vraie révélatrice de ce que tu te complais à appeler obsessionnellement -tel le gamin vicieux qui se tripote- le "génie". En guise de génie, tu as celui de la plus vulgaire agressivité. Sur ce, je te souhaite, cher plumitif cornu, une sédative journée. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Premier vers tu reconnai. ok. Et le deuxième???? Et le cinqième??? Deuxième vers : sa/drô/le/de/ra/mu/re/ Cinquième vers : Et/creu/se/pau/vre/hè/re/ C'est quoi ça idiot??? Je ne corrigerais pas le reste car non seulement tu es nul mais tu es un VULGAIRE MENTEUR!!!! Moi, je te conseille l'asile psychiatrique | ||
| (Intervenant non inscrit) |
tu reconnais (errata) Au fait sais-tu ce qu'est la césure? Je n'ai pas dit la cerise ...sur le gâteau. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Tiens, tu es là, minable? Donc, tu ne sais pas ce qu'est une césure enjambante? Tu peux tenter de te familiariser avec la métrique en lisant Michèle Aquien, "La versification" (PUF, coll. "Que sais-je?"). Cf. page 81. C'est plus à ta portée que Mazaleyrat. Alors? Te voilà "entubé", comme tu dis si bien sur ton site de dégobilleurs, à savoir "torchon noir"! Salut, brillante élite de la poésie! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Et le 12ème? Et le 14ème? Ce n'est pas un sonnet! né-sot!!! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Et le 12ème? Et le 14ème? Ce n'est pas un sonnet! né-sot!!! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Au fait: quand il y a une seule erreur, on dit: erratum. Errata, c'est le pluriel, ô pitoyable béotien! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
La césure enculante? tu connais. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Veux-tu que je te parle de sonorités et de rythme? Espèce d'ignare!!! Et le voilà qui joue l'éboueur de service... | ||
| (Intervenant non inscrit) |
C'est ça. A ta décharge, la césure du 14éme est une erreur, je le reconnais. Oh mais dis donc! Il sait compter, le saint-cerf! Quel grand garçon! Tu vois, tout n'est pas perdu pour toi. Tourne-toi vers les mathématiques. La poésie, ce n'est pas fait pour les gorets. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Ça ne rate pas. Dès que je les encule, ils se rabattent sur les erreurs de frappe etc... | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Ça ne rate pas. Dès que je les encule, ils se rabattent sur les erreurs de frappe etc... | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Eboueur, oui. Et tu es l'ordure. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Allez! petit, va te coucher. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Tu ne mérites même pas que je te réponde par un sonnet bien ficelé. Trop nul mon petit. Saint Cerf est un grand poète. Tu peux aller crever de jalousie. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Tu ne mérites même pas que je te réponde par un sonnet bien ficelé. Trop nul mon petit. Saint Cerf est un grand poète. Tu peux aller crever de jalousie. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
ah ah ah ah! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
saint-cerf est connu saint-cerf est cornu saint-cerf est cocu Un saint-cerf, ça se sert. Veux-tu l'hallali, petit? Tu as démontré ta méchanceté et ta nullité. Sois raisonnable: il faut aller te cacher. Adieu. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
T'es un sans-couille. Cela n'est guère surprenant. Je suis méchant certes mais pas nul...en poésie. Je suis un grand poète. Je ne crains pas la bave des autres, je les fait baver de jalousie. Tu n'es ni le premier ni le dernier que je ridiculise arguments à l'appui. De plus, tu n'es qu'un vulgaire malhonnête et menteur. Tu ignorais jusqu'à la césure. Tu n'as rien fait exprès, Saint-Tu-perds. Tu as perdu la partie. Enculé une enième fois le Linzertote, rectum pulvérisé!!! ha ha ha | ||
| (Intervenant non inscrit) |
"Je suis un grand poète. " ça... t'as beau croire ce que tu veux, c'est aux lecteurs d'en décider. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
"...arguments à l'appui" arguments? où ça? ... ..."nul"... "con"... "petit"... "encule"... "sans-couille"... ... ha ben oui! en effet, il y a des arguments... | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Quand on est par les autres, on n'est plus. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Il suffit de lire. Quand on ne maîtrise pas la métrique, cela s'appelle comment? C'est de la césure titubante. Quand on ignore les raisons qui ont fait que tel ou tel auteur a volontairement allongé la métrique au-delà de l'hémistiche, cela s'appelle du pifomètre... | ||
| (Intervenant non inscrit) |
pas d'accord, ce sont les interactions avec les choses et les êtres qui t'entourent qui font ce que tu es, et ces relations (d'amour ou de haine) avec les autres sont les seules choses qui restent après la mort. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Mallarmé était bien armé pour se permettre d'enjamber pas Saint Cul Vert à l'ignorance criarde et vociférante!!! "Que se dévêt pli selon pli la pierre veuve" | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Il faut que le sens et/ou la sonorité permettent le "viol" d'une règle or chez le sieur Saint Pubère rien ne justifie ces entorses à la règle. Ce type est un nul!!! en poésie. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Ce monsieur n'a même pas assez de couilles pour m'indiquer où je peux lire ses "textes" (torchons à l'horizon?). Si lui n'est pas convaincu de ses textes au point d'avoir la trouille de les rendre visibles, c'est que ça cloche quelque part dans son discours. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Pour la rédaction des textes édifiants qu’on peut lire ci-dessus – si l’on a vraiment du temps à perdre - ont été utilisés les ouvrages suivants : -Dictionnaire historique de la langue française, publié par l'Académie française, lettre A seulement, 1858. -BEAULIEUX (Ch.). Histoire de l'orthographe française, Champion, 1927. -BOUHOURS. Remarques nouvelles sur la langue française, 1673 et 1693. -BRUNOT (F.). La Pensée et la langue, réédition 1953. Histoire de la langue française des origines à nos jours, A. Colin, 1909. -Les Gueux ou la vie de Guzman d'Alfarache, 1630. -CAYROU (G.). Le Français classique, Didier. -HUGUET (E.). Petit glossaire des Classiques français du XVlle s., Hachette. -MAUPAS Grammaire française, règles certaines..., 1607. -BOSSUET. Sermon sur la Charité fraternelle. -Bussy-RABUTIN. La France galante. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Saint-Machin, tu écris encore sur ce site? Tu n'as donc aucun sens du ridicule? Après être allé piocher quelques références à droite et à gauche, tu crois faire le malin? Tu as dégoûté tout le monde, ici. Tes interventions putrides sont le moyen le plus sûr de dissuader les lecteurs de s'intéresser à toi. Tu ne le comprends pas, ça? Il te reste peut-être encore une chance: change de pseudo et comporte-toi en critique digne de ce nom. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Bibliographie (2) - R. KAYNE, Syntaxe du français : le cycle transformationnel, Seuil, 1977 - J.-C. MILNER, De la syntaxe à l’interprétation, ibid., 1978 - J.-Y. POLLOCK, Grammaire française, grammaire comparée, grammaire universelle, 1989 - M. RONAT & D. COUQUAUX dir., La Grammaire modulaire, éd. de Minuit, Paris, 1986 - A. ROUVERET, Préface et Postface de La Nouvelle Syntaxe, Seuil, 1987 - N. RUWET, Théorie syntaxique et syntaxe du français, ibid., 1972 ; Introduction à la grammaire générative, Plon, 1989. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
T'es capable de taper sur un clavier une bibliographie. C'est bien. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Dommage que tu ne sois pas capable d'en comprendre une traîtresse ligne! |