| Auteur | Message | ||
| Nao (Nao)
Identificateur : Nao Inscrit: 6-2004 |
La nuit boue dans la grandeur du ciel Les bulles floues de lumière débordent à chaque coins de la campagne Et tous ces instants volés sur l’espace caressent le creux de mes empreintes Pour qu’elles te semblent douces quand elles viennent dans le dortoir de nos étreintes Prêter à tes désirs la taille des espoirs aux échelles des troués se dessinant aux bagnes La nuit se baigne infiniment dans le reflet, l’ombre, de la lucarne, arc brisé en une ronde Qui s’ouvre sur les étendus de nature tiède dès le soleil rêvant Le pelage de la nuit roussi, posées sur des voiles rouges dévorantes, gonflées de charbon et de bois Se déchire la brume aux pied du noir qui se fauve, emporté en lambeau dans la fuite vers l’autre rive du monde Traversant la nuit décousu sous la pluie du phare La nuit réchauffée dans cette casserole frémis, l’odeur des comètes grillées me pique les yeux Entre les estrades de suie hautes comme des cathédrales poussent les trèfles qui pimentent Le brouillon de mi-nuit dans le noir de l’ombre de terre Le soleil caché se trahi par des millions de reflet dans le miroir éclaté et disséminé dans cette marmite vide Et ces éclats de soleil caché brillent à chaque fois que mes paupières les lustrent à chaque fois qu’elle s’ouvre après s’être à peine plissée à chaque fois qu’elle battent autour du cœur de cette boîte sombre… | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Coi d'ire (*) face au calamiteux amas de mots... * C'est bel et bien coi d'ire et non quoi dire pour ceux qui n'auraient pas compris. | ||
| Sam (Asics)
Identificateur : Asics Inscrit: 6-2004 |
koa dirent(**) les crapauds devant tant de bave aux lèvres... ** quoi que coa pour koa, pourquoi pas ? | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Le pot (devinez lequel?) craque, on dirait et ça dégouline. Bouchons-nous le nez! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Les capauds ça coasse, je sais  | ||
| Nao (Nao)
Identificateur : Nao Inscrit: 6-2004 |
le pot de colle ? | ||
| (Intervenant non inscrit) |
La colle du pot! | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Nao va lire Anouar, lui c'est un grand poète | ||
| Tm (Tm)
Identificateur : Tm Inscrit: 1-2005 |
Vent de soufre... Les revenants se déchaînent: puante heure! Nao, tiens bon! Ton poème résiste à ces coassements. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Mais il ne résiste pas à la critique sérieuse et non complaisante | ||
| (Intervenant non inscrit) |
C'est l'Harmattan qui souffle et ça vient du désert là où la poésie se mêle au sable. C'est beau d'arpenter les dunes au clair de lune et d'admirer ce spectacle naturel d'ombres chinoises | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Allez critiquer Anouar ... Je vous attends... C'est de la pure poésie, de la sublime! Au loin, je n'entends que croassements de...corbeaux. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Allez critiquer Anouar ... Je vous attends... C'est de la pure poésie, de la sublime! Au loin, je n'entends que croassements de...corbeaux. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
tu croâs(ses)? | ||
| paranodutou (Intervenant non inscrit) |
Grossière provocation à médire d'Anouar. | ||
| (Intervenant non inscrit) |
Moi Mohawk. Intervenants (ici et ailleurs) être très confus dans leur argumentation. Eux (lui ?) sûrement avoir produit grosse chiasse à fragrances de rose et s’être écorché(s) là et avoir désormais cul(s) rouge(s) comme singe(s). ça être très désagréable quand écrire assis sur une chaise ; ça être contrariété qui empêche de réfléchir avec sérénité. | ||
| Nao (Nao)
Identificateur : Nao Inscrit: 6-2004 |
c'est une catastrophe naturelle ces gens, quand au pot de colle, c'est parce qu'il y a effectivement des individu repoussant qui on tendance à s'incruster et à coller aux pages de ce site, ça devient d'ailleurs assez pénible... | ||
| Sam (Asics)
Identificateur : Asics Inscrit: 6-2004 |
Revenu sans être parti, Voilà bien le moindre des mots Qu'il faut bien, c'est ainsi, Lire avant de crier aux maux. Point de catastrophe naturelle Ni d'éruption sulfureuse Sous ces cieux rebelles Aux collures nauséeuses. |