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Message |
JG
| | Envoyé samedi 17 juillet 2004 - 23h46: | |
Tu auras pris tous mes langages, comme une filature, comme un grand sentiment…
Dans le plus grand bain tiède de mon passé, lustré, d’images trop jaunies…
Tu seras là, comme une étoile, qu’on aimerait filante, comme plongée, dans les bouillonnements anciens, de ma mémoire…
Tu reviendras à moi, en phrases spontanées, armées de l’innocence…
La perception de ton approche, dans les reflets des cicatrices, le flot de ces instants de solitude et de désespérance…
J’aurais appris de toi, tous les instants d’avant, pour me nourrir encore…
De toi toujours en moi, que je ne connais pas, qui ne me connais pas, qui reviendras toujours, comme la première fois, empreint de ses silences…
Tu reviendras chez moi, mais chez moi c’est dehors, chez moi c'est comme chez toi, des lumières et des ombres, chez moi c'est comme un ciel, qui n’a pas de nuages, où y’a même pas d’oiseaux…
Tu reviendras quand même, nouer nos différences, d’ossatures et de phrases, pour les mots qui te manquent, tous ceux qu’il te faudrait, pour avancer, courir…
Les mots à en mourir.
Pour revenir encore. |
alaran
| | Envoyé jeudi 22 juillet 2004 - 22h31: | |
point de critiques,juste une question:ne te demandes-tu pas parfois quel est le risque que tu encours de sombrer dans le tourbillonnement des sons(des mots?)au detriment du poids du vecu(et donc du sens)?
merci |
JG
| | Envoyé jeudi 22 juillet 2004 - 23h50: | |
Ecoute mon grand, faudrait savoir... Ou tu critiques ou tu critiques pas ! ok ?... Sinon tu peux aussi essayer d'être plus cohérant dans tes propos ("point de critiques" Mais je t'encule quand même ! c'est ça ?)(c'est du n'importe quoi, pourvu d'ajouter, ce que tu crois être un bon mot) ensuite, je te conseille d'aller t'fouiller, juste pour voir s'il te reste des couilles, ou si toutes fois, ce sont bien les tiennes, que t'as d'pendu derrière ton cul... |
alaran
| | Envoyé vendredi 23 juillet 2004 - 16h10: | |
ecoute petit wistiti,tu me fais penser a ces petits nerveux moustachus qu'on refuse a l'entree d'une boite de nuit et qui font de l'esclandre... Maitre inconteste
N.B. si t'es si fort ,vends tes bouquins et fais de l'argent, sinon tais-toi petit frustre de la capote vide |
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