Sur une route de terre battue,
Des pieds se sont posés.
La trace s'est laissé balayer
Par le sablier tout plein
De petits grains de temps qui coule.
Il ne reste que les cailloux égarés,
Foulés par les pieds de quelques passant à l'espoir élimé
Le long de ce chemin si peu emprunté,
Les traces de ceux-là qui ont cessé de croire à la lueur illusoire
D'un paradis perdu. |
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Lincandescence de ton regard
attise mes yeux de torrent,
je perçois, en cet instant, toute lessence de ton être,
une larme perle sur le rebord de mon cil de libellule,
et elle demeure en suspend,
lespace dun simple clin d'oeil.
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